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Bilan de fin d'année
20/12/2008 11:40
En cette fin d’année on sent bien que le pays est à cran. Les lycéens sont dans la rue, les plans sociaux se multiplient, la majorité même se cabre contre certains projets du Président de
la République
(travail du dimanche, loi sur l’audiovisuel).
Une étincelle suffirait presque à embraser le pays.
Pourquoi une telle dégradation seulement 18 mois après l’espoir suscité par l’élection présidentielle ?
Deux raisons : l’une de forme, l’autre de fond.
Sur la forme, les Français ne confondent plus l’agitation et l’action. Trop de fausses réformes à usage seulement médiatique ne font pas une politique cohérente car elles ne vont pas à la source des problèmes.
Sur le fond, les actions réellement entreprises apparaissent pour beaucoup davantage dictées par la loi des gros intérêts proches du pouvoir que par le souci de l’intérêt général. La réponse à la crise économique est ainsi totalement déséquilibrée. Les banques ont été aidées sans contrepartie. Le plan de relance est un trompe-l’œil.
Quel gâchis !
Mais il ne sert à rien de pointer du doigt ce malaise si l’on n’est pas capable de proposer une autre politique capable de réconcilier les Français avec les nécessaires réformes de notre pays. C’est pourquoi Debout
la République
, notre nouveau rassemblement, continuera inlassablement domaine par domaine, à proposer des solutions capables enfin de traiter à la racine les difficultés de
la France.
Car, n’en doutons pas, notre pays peut s’appuyer sur de nombreux atouts. Les Français sont prêts à l’effort. Ils veulent simplement un peu plus de justice, un peu plus de constance, un peu plus d’humilité de la part de nos gouvernants.
Puisse la trêve des confiseurs apaiser la situation et enfin permettre à
la France
de relever les défis essentiels : la compétitivité, l’emploi et le pouvoir d’achat.
Nicolas Dupont - Aignan
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Présidence française de l'Union européenne : tout en com et en strass...
18/12/2008 14:00
La conclusion de la Présidence française de l’Union européenne donne lieu à un nouvel exercice d’autosatisfaction du Président de la République, largement relayé par les observateurs.
Mais, si l’on creuse un peu, on s’aperçoit une fois de plus que la forme l’emporte sur le fond, l’image sur la réalité, le faire-savoir sur le savoir-faire. En vérité, le style Sarkozy tombe à pic pour les défenseurs d’une Union européenne en lambeaux.
L’activisme du Président permet aux oligarchies européennes de continuer à se voiler la face malgré les échecs avérés de leur construction baroque.
L’accord obtenu à l’arraché sur le « paquet » énergie/climat, est-ce vraiment un succès éclatant, ou une timide avancée ?
Au bénéfice du doute, observons qu’il s’agit d’un compromis passable qui aura peut-être le mérite d’enclencher un processus à plus long terme.
Mais c’est dans le domaine financier et économique que le décalage entre les discours et les actes est le plus saisissant. La montagne médiatique a accouché d’une souris. La réactivité reconnue sur la crise des banques n’a malheureusement donné lieu à aucun équivalent en matière de plan de relance, l’Allemagne refusant d’avancer et bloquant tous les autres, à commencer par la France. La Banque centrale européenne a baissé ses taux d’intérêts trop tard et trop peu. L’euro reste largement surévalué pénalisant un peu plus nos exportations et mettant en grand péril notre tissu industriel.
Le libre échange intégral pénalise en premier l’Union européenne. Les banques ont été aidées sans aucune contrepartie. La zone euro s’enfonce dans la récession quand la Grande Bretagne organise la dévaluation compétitive de sa monnaie comme la plupart des autres pays du monde.
Enfin, sur le plan institutionnel, le beau discours sur la marginalisation de la Commission et le retour des Etats n’est qu’illusion. Le Président de la République, fidèle serviteur du rouleau compresseur supranational, a obligé le gouvernement irlandais à organiser un nouveau référendum d’ici à l’automne 2009. La Constitution européenne bis qui enfermera les Etats dans un système sans contrôle démocratique est, hélas, à nos portes, après avoir piétiné ce qu’il y a de plus sacré : le suffrage universel. Seuls les Irlandais peuvent désormais empêcher l’irréparable et chaque Européen, chaque démocrate, doit les y aider.
Sérieusement, qui peut parler d’un bon bilan pour les peuples d’Europe niés dans leur vote, souffrant de la pire récession depuis la seconde guerre mondiale ? La Présidence Sarkozy, en vérité, n’aura donné qu’un répit de plus à cette mauvaise Europe qui a dénaturé l’indispensable et belle idée européenne. Ce feu de paille, tout en com et en strass, n’aura illusionné que les habituels spectateurs complaisants de la mauvaise comédie européenne…
Les élections du 7 juin prochain seront l’occasion pour les électeurs de reprendre la main.
Nicolas Dupont - Aignan
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De Gaulle, toujours et encore...
17/12/2008 15:48
"Puisque tout recommence toujours...", retrouvez le texte de référence de DLR sur le gaullisme.
http://www.debout-la-republique.fr/De-Gaulle-toujours-et-encore.html
Commentaire de vive le général (17/12/2008 15:58) :
bravo pour ce blog qui ravive la flamme du souvenir du plus grand chef
d'Etat que la France n'ai jamais eue... Depuis 1969, la France,
faute d'hommes de son accabit, sûr du destin de notre nation et
prévoyant de son avenir, la France se perd... Il est grand temps que des
hommes comme NDA lui rende la confiance à sa grande destinée... Je serai de
tous coeur derrière vous et, malgré mes 74 printemps,je retrouve foie en
l'avenir;
Vive la République, Vive la France
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L'Union des hypocrites
16/12/2008 15:00
Sur le marché d’Hénin Beaumont, ce matin du 16 décembre, le MJS raccollait les jeunes pour les inviter à s’inscrire sur les listes électorales, et, dans la foulée les amener à voter pour le PS. Au vu du tract qu’ils donnèrent, je me suis dit qu’heureusement que le ridicule ne tuait pas ! Ils laissent entendre que l’Europe est actuellement dominée par une majorité de droite, et donc, il faut massivement voter pour le PS afin de rééquilibrer les pouvoirs… Le PS et le MJS souffrent toujours étrangement d’amnésie lorsqu’arrive les élections européennes. Ont – ils oublié que toutes les règles et lois Européennes ont été édictés par les parties de droite, certes, mais aussi par des partis sociaux – démocrates dont le PS fait partis ? Ont – ils déjà oublié que les parlementaires socialistes ont, avec l’UMP, voté de concert un texte que les Français et les Hollandais avaient rejeté ? Quelle belle leçon de démocratie ! Est – ce que la réédition du même texte ressoumis aux Irlandais qui l’avaient déjà refusé à l’heure de déplaire au PS ? Non s’il vous plait, assez d’hypocrisie Messieurs les socialistes moralisateurs. Un euro qui a biaisé notre pouvoir d’achat, une fragilisation des salariés français face à la concurrence de salariés sous payés et les délocalisations qui l’accompagnent , la disparition progressive des services publics au nom de la sacro – sainte concurrence édictée par Bruxelles, le manque de volonté industrielles, scientifiques, culturelles et sociales, un déficit de plus en plus grand de notre balance commerciale… Voilà, Messieurs les Socialistes, voilà le résultat de votre politique européenne depuis une trentaine d’année. Vous n’avez jamais empêché en rien cette politique, vous l’avez même accompagné, trahissant en cela la volonté populaire… Non, s’il vous plait, un peu de courage sur le bilan de vos députés qui ne siègent que la moitié du temps (afin de percevoir en entier leurs émoluments) au Parlement Européen, et qui sont aux antipodes des problèmes quotidiens des Français. Liennemann, Peillon, Weber, Cottigny et Douay n’ont en rien agit pour le bénéfice de
la France ! Pas plus que Flautre, Lang, Le Pen, Saïfi, Gauzés, Le Rachinel, Hénin et Fouré. Tous ces euro - députés pour notre région, plus en clin à briller dans leur partis respectifs qu'à défendre le citoyen. Il est temps de changer pour une nouvelle Europe, temps d'investir un parti prêt à négocier un plan B au bénéfice de tous et non pour l’intérêt d’une minorité de nantis. Il est temps de voter pour DLR.
PW
Commentaire de europhile (16/12/2008 16:02) :
Vous laissez entendre par votre propos que les euro-députés ne siègent que
la moitiè de leur temps au parlement européen... N'est ce pas là de la
simple démagogie ?
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Commentaire de DLR1(Canal Historique) (16/12/2008 16:22) :
Non, et lorsque j’ai parlé de présence effective pour la moitié du temps,
j’ai usé encore de retenue. En effet, le 31 mars 2004, Hans Peter Martin,
euro-député pour l’Autriche, n’hésita pas à révéler une liste de 57 noms
de parlementaires allemands qui auraient perçus des indemnités de présence
irrégulières. Il accusait les euro – députés, tous partis confondus, de
se signaler le matin sur la liste de présence et de quitter ensuite
immédiatement le bâtiment. Il enregistra 7200 cas où les jetons de présence
avaient été abusivement réclamés. Bien sur, dans une conférence de presse
commune pour tous les représentants des groupes politiques du parlement,
Hans-Gert Pöttering (CDU) qualifia ces déclarations d’ineptes et
infamantes. Une réforme du système d'indemnisation des parlementaires
aurait été souhaitée mais il fut choisi de ne pas traiter cela en public.
Exemple s’il en est de la concorde qui règne parmi tous les groupes
politiques européens quand il s'agit d'aller à l'encontre de
l'intér^t des citoyens. A noter également qu’Hans Peter Martin dénonça
également ce qu’il qualifia d’ enrichissement et gaspillage de fonds
publics par la présentation de frais de repas et indemnités de déplacement
anormalement élevés émanant de certains de ses collègues. En réaction, les
instances européennes l’accusèrent également d'abus d'indemnités
de repas.
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Démocratie disciplinaire !
15/12/2008 19:03
Lors de la réforme institutionnelle au mois de juillet, le Président de la République et le gouvernement nous promettaient le renforcement des droits du Parlement. A l’usage, quelques mois plus tard, on s’aperçoit que tout cela n’était qu’écran de fumée.
Dès que le Président de la République se trouve confronté au moindre désaccord de sa majorité, il tempête et fait tout pour faire pression sur les parlementaires ou contourner le Parlement.
Sur l’audiovisuel, la manœuvre est inadmissible. Il revient même à Mr de Carolis et au Conseil d’Administration de France Télévisions de supprimer la publicité à 20 heures. Le Parlement est piétiné et l’avenir de France Télévisions entravé puisqu’elle ne disposera pas, dans ces conditions, de la compensation financière promise par l’Etat !... sauf si les parlementaires bien sûr cèdent au chantage en avalisant le plan élyséen.
Souhaitons simplement que le Conseil d’administration de France Télévisions saura résister au caprice du prince et, dans un sursaut de dignité, lui infligera le camouflet qu’il mérite !
Sur la question du travail le dimanche, la situation est pire car c’est la majorité elle-même qui répugne à mettre le doigt dans l’engrenage de la déstructuration sociale et familiale de notre pays. Jean-François Copé essaye de trouver un compromis. Qu’en sortira-t-il ? Nous n’en savons encore rien. Mais il est clair que là aussi le débat d’idées, le simple rôle délibératif du Parlement, est assimilé par le chef de l’Etat à une offense personnelle.
Cela me rappelle étrangement le Nicolas Sarkozy d’avant élection présidentielle, qui me téléphonait pour m’intimider en m’expliquant, puisque j’osais être en désaccord avec lui, que je l’attaquais personnellement !
Notre pays, qui affronte une crise économique et sociale sans précédent, pourra-t-il encore se payer longtemps le luxe de cette démocratie disciplinaire et vexatoire, où le pouvoir d’un seul tend désormais à la mise au pas des 64 millions d’autres citoyens… pardon, sujets ! ?
Nicolas Dupont Aignan
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